Inspirée par un collant en laine qu’elle portait au début de l’automne, la poétesse Josette Maillet nous gratifie d’un joli poème forestier.
L’amour des collants fait parfois réaliser des petits miracles ou des éclairs de génie. Nous avons la chance de compter parmi nos fans les plus fidèles l’écrivain-poétesse Josette Maillet qui nous a fait parvenir ces quelques lignes :
 Avec ses jambes enrobées de laine
 Elle court, elle court
 Dans le bois,
 La jeune châtelaine
 Et, s’arrêtant devant la fontaine
 sur le miroir de l’eau troublée
 Elle voit
 Les grands bois
Du cerf qui lui fait la cour….
                                      Josette Maillet