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Les femmes portent des bas depuis le milieu du 19è siècle. Des décennies durant, elles laisseront planer le mystère autour de ce sous-vêtement féminin qu’elles n’exposeront qu’en de rares occasions, des instants volés et furtifs bien souvent.
Rappelez-vous ! Avant la première guerre mondiale, les femmes étaient largement vêtues : robes, jupons et corsets étaient leur lot quotidien. Difficile à croire cependant, les bas sont déjà là , imperceptibles derrière cette masse de vêtements qui se superpose. Blancs au départ, ils se diversifient peu à peu. Dans les années 1870, les « bas bottes », qui démarquent la cheville du reste de la jambe, laissent place aux bas écossais ou bas « rayures » en 1880. En 1890, le bas noir fait son apparition.
Le bas connaît sa période la plus faste à la Belle-Epoque. Dans un premier temps, les jarretières sont préférées avant d’être remplacées, en 1876, par le porte-jarretelle, jugé moins néfaste pour la circulation sanguine. Le principe de la jarretière ne reviendra qu’avec l’invention des bas jarretière dans les années 1980.
Vers la fin du 19è siècle, le premier métier à tisser circulaire est à l’origine de l’explosion du marché des bas. Cette nouvelle machine permet de fabriquer un tricot tubulaire qui unifie la matière et la rend compacte. On pourrait croire que cette invention signe la fin des bas couture. Et, pourtant, rien n’est moins vrai. Ils connaîtront un véritable engouement dans les années 1930 et 1950. D’ailleurs, face à la pénurie de la 2è guerre mondiale, les femmes rivaliseront d’audace, pour s’en procurer au marché noir et feront preuve de ruse, en dessinant, elles-mêmes, un trait noir au dos de leurs jambes pour faire illusion. Ce sont les collants qui participeront, dans les années 1960, au déclin des bas à coutures.
Les bas se dévoilent enfin pendant la 1è guerre mondiale, les femmes relevant leurs jupes pour travailler à la place des hommes partis au front. Leurs jambes et les démarcations des bas apparaissent alors aux yeux de tous. Elles ont encore l’habitude de porter des bas noirs. Mais, en 1922, les bas « teint de chair » deviennent à la mode, parfois décorés de motifs de plus en plus excentriques et originaux au fil des ans.
Les années folles sont également l’apanage des matières liées aux bas. La soie synthétique supplante alors la soie naturelle, jusqu’à ce que les bas nylon se développent en 1928, aidés par les soldats américains qui en emportent avec eux lors du débarquement en 1944.
Le marché du bas connaît sa première crise pendant la guerre. Les femmes doivent affronter la pénurie et sortent les jambes nues, laissant leur coquetterie de côté. C’est alors que les stylistes des grandes marques vont jouer un rôle primordial dans la reconquête du bas par les femmes. En imposant le port de la lingerie dans leurs campagnes de publicité, elles vont à nouveau donner de l’élan aux bas. Les avancées techniques, soucieuses de produire des bas toujours plus fins, vont atteindre leur apogée en 1958, date des premiers bas sans couture.
Le phénomène des bas prend son essor conjointement à la naissance de la minijupe au début des années 60. Les couleurs s’invitent de plus en plus au grand bal de cette lingerie plébiscitée par la gente féminine. Néanmoins, dans les années 1970, les bas sont temporairement délaissés au profit du pantalon qui occupe l’essentiel du vestiaire féminin jusque dans les années 1980, époque où le culte de l’élégance et de la sensualité refait surface. Le Lycra est la matière qui révolutionne ces dessous à cette période. Les tentatives d’innovation et les recherches en termes d’association de fibres, de couleurs, de motifs, de confort et de bien-être, permettent, encore et toujours, à cette pièce de tissu de plaire aux femmes des temps modernes. S’ils connaissent un succès moindre, les bas demeurent synonyme de glamour et sont réservés à la sphère de l’intimité. Moins en vue qu’à une époque, ils continuent d’être populaire auprès de la gente féminine, notamment grâce aux hommes qui l’associent à un objet de désir et de tentation.
De nos jours, les bas et les collants ne sont plus des concurrents directs. Ils suivent des chemins parallèles, c’est pourquoi les premiers jouent davantage la carte du « sexy » tandis que les seconds mettent l’accent sur le confort.
Le collant est à la rue ce que les bas sont à la « ruelle ». Autrement dit, si l’un se porte exclusivement en public, l’autre appartient à la sphère du privé. C’est là que réside la véritable ligne de démarcation entre les deux.
Porter des collants semble devenu synonyme de « travestissement » pour les hommes d’aujourd’hui. Pourtant, le collant est, à l’origine, un accessoire vestimentaire typiquement masculin.
Depuis que le collant est revenu à la mode il y a plusieurs années, les tendances liées à ce sous-vêtement n’ont eu de cesse que d’évoluer…
En 1986, alors que le bas tombe peu à peu en désuétude auprès des femmes, la très célèbre marque de lingerie DIM créée 33 ans plus tôt, lance une campagne qui va révolutionner le monde du sous-vêtement féminin avec ce qu’on peut aujourd’hui appeler la révolution des « bas qui tiennent tout seul » ou, plus communément, le dim-up.
A l’origine, ce qu’on appelait un bas était, en réalité, un collant. L’histoire raconte que les premiers bas apparurent le jour où un anglais, William Rider, décida de différencier le haut du bas. La manœuvre devait permettre, au XVIe siècle, de faciliter leur usage et de susciter une certaine élégance.
Vous vous êtes souvent demandées, Mesdames, Mesdemoiselles, quels collants choisir ? Heureusement, COLLANT.FR a pensé à vous en vous offrant une sélection de ses meilleurs articles parmi une gamme de produits reconnus et de qualité.
Accessoire incontournable et indispensable pour soutenir ses bas, le porte-jarretelles doit être de qualité. Cette semaine, l’équipe COLLANT.FR vous propose une sélection de 3 porte-jarretelles réalisés par Cervin ou Gerbe, deux grandes maisons de Collants et Bas en France et dans le monde. Choisis pour leur qualité de maintien et le confort qu’ils apportent, ces 3 modèles devraient satisfaire le plus grand nombre.
Vous vous êtes, peut-être, déjà demandée comment vos collants étaient fabriqués ? Cette semaine, COLLANT.FR vous apporte quelques éléments de réponses.
L’année 2011 est arrivée à grands pas.. mais le printemps est encore loin pour s’imaginer enfiler nos petites robes légères. Qu’importe finalement, puisque la mode est au Legging et qu’il nous permet de dévoiler nos belles gambettes aux allures chic et glamour.
Depuis 2006, il traverse les saisons, et le legging a encore quelques belles années devant lui…