Nous aimons parler des artistes qui expriment leur passion pour les bas et collants, leur passion pour les jambes des femmes en général, au travers de leur art : cinéma, poésie, peinture et musique. Il en est un qui a particulièrement rendu hommage dans son Å“uvre à la Femme, c’est Jacob Offenbach.
Compositeur populaire du 19e, il a connu la postérité grâce à ses opéras, opéras bouffe et opérettes. En 40 ans de création, plus d’une centaine d’Å“uvres ont été jouées sur scènes, dont les plus connues font partie des grands classiques du répertoire lyrique et sont encore interprétées aujourd’hui : Orphée aux Enfers (1858), les Contes d’Hoffmann (1881), la Belle Hélène (1864) ou La Vie parisienne(1866).
Les opérettes d’Offenbach sont pleines d’humour et toujours d’actualité dans leurs critiques des disparités sociales. Elles présentent avec beaucoup d’humour les rapports complexes entre les hommes et les femmes avec un regard féministe et démontrent que les femmes sont bien plus fortes que les hommes. Il n’est pas rare que les mises en scènes nous gratifient de quelques jambes en bas résille et porte-jarretelles pour attiser la convoitise de ces messieurs…
Si vous n’êtes pas encore familiers de l’opéra bouffe ou de l’opérette, un festival au nom provocateur (comme l’a été Offenbach dans sa vie) « Le Classique, C’est Pour Les Vieux » se tiendra à Paris du 20 au 24 octobre à Paris pour sa 5ème édition et a pour ambition de démocratiser la musique dite « classique » en s’appuyant sur l’Å“uvre d’Offenbach.
Des jeunes artistes, une programmation exceptionnelle et des lieux atypiques vont vous faire adorer le classique. D’ici là , nous vous en reparlerons et tenterons comme à notre habitude d’interviewer l’un des organisateurs.
Pour vous faire une idée, une petite vidéo d’Orphée aux Enfers, opéra-bouffe en 2 actes et quatre tableaux d’Hector Crémieux et Ludovic Halévy, sur une musique de Jacques Offenbach créé le 21 octobre 1858 au théâtre des Bouffes-Parisiens :